Un climat de suspicion se développe à l’égard des ressortissants allemands, autrichiens et italiens. Les autorités et la population ont alors une grande crainte, que ces étrangers soient des ces agents infiltrés qui transmettent des informations à l’ennemi ou, pire, se livrent à des actes de sabotages.
La rumeur et les nombreuses arrestations préventives relatées dans la presse engendrent quelques mouvements de panique comme le célèbre saccage des locaux de la firme suisse Maggi à Paris et en proche banlieue.